Samedi 1 août 2015

Ca y est, c’est le départ ! Réveil à 6h du matin sans trop de stress, je prends une douche puis je range les affaires de toilettes dans la valise. Tout est prêt ! Enfin tout sauf Max qui dort comme une souche. Je mets 10 minutes à le réveiller. Il est plutôt de bonne humeur même si un peu stressé par le long trajet en avion et par la perspective de se séparer de son père pendant un an.

Moi ce qui me stresse c’est de penser qu’on va être que tous les deux pendant presque tout ce temps et qu’en plus je vais devoir faire l‘école à Max. La pédagogie et la patience ne font pas (encore) partie de mes qualités !!

Torbjörn sonne à la porte : il est l’heure de partir. L’aéroport est plein de monde mais le check-in se passe très rapidement, même si je dois re-dispatcher une grosse partie des affaires de nos bagages à main, ils font chacun 10kg et le maximum autorisé est 7kg… Grrrr… heureusement j’ai prévu le coup et j’ai un sac de voyage pliable : hop tous les jouets de Max (+ le guide de l’Australie qui pèse à lui tout seul 1kg !) passent dans la soute – les cours du CNED eux restent précieusement dans le bagage à main!

C’est le moment des aux revoir entre Max et son papa : bisous et gros câlins et nous voilà partis.

Mais c’est que nous n’avons pas encore pris de petit déjeuner ! Direction le restaurant de l’aéroport pour un dernier petit déjeuner : croissants, céréales, chocolat au lait et jus d’orange : miam !

Au moment d’embarquer qui voit on arriver ? Yiannis qui part vers Syros

Le premier vol de Bruxelles vers Doha passe très rapidement, Max regarde 6h de films et moi je fais pas mal de candy crush (nombre d’heures non divulgué) interrompu (très abruptement) par mon verre de soda qui se renverse sur moi quand mon voisin de devant incline très violemment son siège…

2h de transit à Doha : 20 parties de Uno avec Maxou qu’il gagne presque toutes.

Le deuxième vol vers Kuala Lumpur passe beaucoup plus lentement. C’est la nuit mais ni Max ni moi n’avons envie de dormir. Max est interdit d’écran et moi je n’ai plus de batterie. Nous somnolons.